Renraku Computer Systems

Histoire:

En 2029, Inazo Aneki racheta la compagnie Keruba International, membre fondateur de la Cour Corporatiste. Il refait toute son organisation et la renomme Renraku. Après le crash 1.0, Renraku deviendra leader matriciel sur le marché. C'est en effet cette méga qui reconstruisit le réseau dans les années qui succédèrent le crash. Ils s'employèrent alors à être les premiers à mettre au point une intelligence artificielle.

Pour son grand malheur cependant, ils découvrirent trop tard qu'ils avaient effectivement mis au monde une IA : Deus. Leur arcologie de Seattle connut un blackout, causé par leur création involontaire et qui venait d'en prendre le contrôle totale. Du moins, c'est ce qu'on raconte partout dans les ombres pour expliquer la fermeture brutale de leur arcologie à Seattle et l'intervention musclée de l'armée des UCAS deux ans plus tard...

Après avoir réussi à la chasser et croyant l'avoir détruite, elle revint néanmoins et tenta de se recompiler en tirant profit de la puissance informatique réunie pour l'OPA de Novatech sur Erika et Transys Neuronet. On dit que ce fut la cause du crash matriciel 2.0.

En tous les cas, fatiguée par sa réputation en forte baisse et par sa lutte contre Fuchi qu'elle finit par détruire lors de la Guerre Corporatiste des années 2060, Renraku se maintint tout de même à flot vaille que vaille. Ayant pu mettre la main sur les actifs de Fuchi Asie, elle tente à présent de sortir la tête de l'eau et de garder sa position parmi les 10 plus grosses puissances du monde.

Structure:

Il n'y a rien d'exceptionnel dans la division de Renraku. Répartie en plusieurs divisions régionales, la mégacorporation japonaise ne fait que reprendre le schéma classique de la plupart de ces méga-structures.

On peut cependant faire ressortir la divison des "Samouraïs Rouges". Ces guerriers d'élite sont l'armée de sécurité de Renraku. Ils doivent leur nom à la forme de leurs armures qui font penser à l'armure portée historiquement par les guerriers légendaires du Japon.